| Titre : | Les politiques d'aide dans les pays du CILSS : rapport de synthèse | | Type de document : | texte imprimé | | Auteurs : | Anne Sophie BOISGALLAIS ; Jean-Jacques GABAS | | Editeur : | CLUB DU SAHEL/OCDE | | Année de publication : | 1992/01 | | Autre Editeur : | CILSS | | Importance : | 131p | | Langues : | Français | | Mots-clés : | POLITIQUE ETRENGERE POLITIQUE D'AIDE AIDE AU DEVELOPPEMENT SOCIETE CIVILE AIDE PUBLIQUE ORGANISATION NON GOUVERNEMENTALE BANQUE MONDIALE AJUSTEMENT STRUCTUREL AIDE BILATERALE COOPERATION POUR LE DEVELOPPEMENT PAYS DU NORD PAYS EN DEVELOPPEMENT | | Résumé : | Ce début de décennie 90 marque-t-il "la fin des habitudes" pour les politiques d'aide ? Force est de constater que les trente dernières années qui se calent avec l'ère de la décolonisation ne peuvent être qualifiées de "trente glorieuses" ! Ces aides extérieures à l'Afrique subsaharienne et au sahel en particulier n'ont pas réussi ce décollage tant espéré mais surtout n'ont pas réussi un "accompagnement" au développement. Les ressources financières ont-elles manqué au Sahel ? Les pays du Nord restent de généreux donateurs : 23 milliard ont été injectés de 1975 à 1989 dans la région. La France est la plus présente (19 pourcent), suivie de la CEE (11 pourcent), la Banque Mondiale (10 pourcent), les Etats-Unis (8 pourcent) et l'Allemagne (8 pourcent) .Ce sont les pays bien souvent les plus aidés, à la fois par habitant et par rapport à leur richesses intérieures. L'aide atteint des proportions étonnantes, voire inquiétantes : 210$ par habitant au Cap Vert, 130 en Mauritanie, 90 au Sénégal. L'aide publique compte pour prés de 60 pourcent du PIB en Guinée Bissau, 45 pourcent en Gambie, 25 pourcent au moins dans la plupart des autres pays. Une véritable perfusion. Mais pourquoi faire ? Aider massivement ne signifie pas aider efficacement. | | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10669 |
Les politiques d'aide dans les pays du CILSS : rapport de synthèse [texte imprimé] / Anne Sophie BOISGALLAIS ; Jean-Jacques GABAS . - [S.l.] : CLUB DU SAHEL/OCDE : [S.l.] : CILSS, 1992/01 . - 131p. Langues : Français | Mots-clés : | POLITIQUE ETRENGERE POLITIQUE D'AIDE AIDE AU DEVELOPPEMENT SOCIETE CIVILE AIDE PUBLIQUE ORGANISATION NON GOUVERNEMENTALE BANQUE MONDIALE AJUSTEMENT STRUCTUREL AIDE BILATERALE COOPERATION POUR LE DEVELOPPEMENT PAYS DU NORD PAYS EN DEVELOPPEMENT | | Résumé : | Ce début de décennie 90 marque-t-il "la fin des habitudes" pour les politiques d'aide ? Force est de constater que les trente dernières années qui se calent avec l'ère de la décolonisation ne peuvent être qualifiées de "trente glorieuses" ! Ces aides extérieures à l'Afrique subsaharienne et au sahel en particulier n'ont pas réussi ce décollage tant espéré mais surtout n'ont pas réussi un "accompagnement" au développement. Les ressources financières ont-elles manqué au Sahel ? Les pays du Nord restent de généreux donateurs : 23 milliard ont été injectés de 1975 à 1989 dans la région. La France est la plus présente (19 pourcent), suivie de la CEE (11 pourcent), la Banque Mondiale (10 pourcent), les Etats-Unis (8 pourcent) et l'Allemagne (8 pourcent) .Ce sont les pays bien souvent les plus aidés, à la fois par habitant et par rapport à leur richesses intérieures. L'aide atteint des proportions étonnantes, voire inquiétantes : 210$ par habitant au Cap Vert, 130 en Mauritanie, 90 au Sénégal. L'aide publique compte pour prés de 60 pourcent du PIB en Guinée Bissau, 45 pourcent en Gambie, 25 pourcent au moins dans la plupart des autres pays. Une véritable perfusion. Mais pourquoi faire ? Aider massivement ne signifie pas aider efficacement. | | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=10669 |
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