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Titre : LES 3A : SUIVRE LA RÉSILIENCE DANS L’ENSEMBLE DE BRACED : LES 3A : L’ESPRIT Futur DE LA RÉSIlIENCE. Document de travail Type de document : texte imprimé Auteurs : BAHADUR, Aditya V., Auteur ; PETERS, Katie, Auteur ; WILKINSON, Emily, Auteur Mention d'édition : Le gestionnaire de connaissances BRACED prépare des données factuelles et des enseignements ayant trait à la résilience et à l’adaptation en partenariat avec les projets BRACED et la communauté de la résilience dans son ensemble. Il recueille des données Editeur : BRACED Année de publication : Aout 2015 Importance : 63 p. Note générale : Document extrait de la plateforme AGORA d'Enda Tiers-Monde. Langues : Français Catégories : ADAPTATION AU CHANGEMENT CLIMATIQUE
BESOIN EN ENERGIE
CATASTROPHE
CATASTROPHE NATURELLES
CHANGEMENTS CLIMATIQUES
DEVELOPPEMENT DURABLE
GESTION DES RISQUES
PAUVRETE
REDUCTION DES RISQUES DE CATASTROPHES
RISQUES CLIMATIQUESMots-clés : RESILIENCE Index. décimale : 124 - DESASTRES, CATASTROPHES NATURELLES, CALAMITES Résumé : Le terme « résilience » désigne généralement l’aptitude des systèmes à fonctionner lors de perturbations (Holling, 1973). Des efforts considérables visant à opérationnaliser ce concept afin de réduire la vulnérabilité des communautés marginalisées ont été observés. Si les acteurs de développement de par le monde reconnaissent le potentiel d’une réflexion axée sur la résilience, l’opérationnalisation du concept présente néanmoins un certain nombre de problèmes. Il s’agit, entre autres, des aspects suivants : difficultés rencontrées au moment de traduire
des idées émanant de l’étude de systèmes naturels pour qu’elles puissent être appliquées dans le travail sur des systèmes dotés de composantes sociales ; la gestion des concessions dans le renforcement de la résilience – par exemple, le fait de renforcer la résilience d’une personne peut exacerber la vulnérabilité d’une autre personne ; et comment parvenir à mieux comprendre les seuils à franchir pour qu’un système puisse devenir résilient (Bahadur et Tanner, 2014a).
L’un des très importants défis à relever pour opérationnaliser le concept concerne la mesure de la résilience des systèmes à diverses perturbations. La résilience couvre un certain nombre de suppositions théoriques sophistiquées sur la pensée systémique, l’interaction inter-échelles et la dynamique hors équilibre qui sont difficiles à jauger et à évaluer. Les chercheurs et les praticiens doivent par ailleurs s’efforcer de trouver des méthodes permettant de mesurer la résilience avant que les catastrophes ne surviennent (Bahadur et al., 2013 ; Quinlan, 2014).
Mais, alors même que la communauté de pratique met tout en œuvre pour relever ces défis, les programmes de résilience prolifèrent de par le monde. Un programme important de résilience est le programme financé par le département britannique du développement international (Department for International Development – DFID) « Renforcer la résilience et l’adaptation aux phénomènes climatiques extrêmes et catastrophes climatiques » (Building Resilience and Adaptation to Climate Extremes and Disasters – BRACED)1 – l’un des plus grands programmes de résilience du monde au moment de la rédaction du présent document. Cette initiative a pour objectif d’aider les populations à devenir plus résilientes aux chocs et stress induits par les changements climatiques en Asie du Sud et du Sud-Est, en Afrique de l’Est et au Sahel. Des subventions ont été accordées à 15 consortiums pour qu’ils puissent mener des projets couvrant une large variété de questions : de l’obtention, la prestation de services et la promotion de la mobilité 8LES 3A : SUIVRE LA RÉSILIENCE DANS L’ENSEMBLE DE BRACED IntroductIon
transfrontalière du bétail dans l’ensemble du Sahel, à l’échange de compétences et de technologies pour améliorer l’utilisation des informations relatives au climat en Éthiopie, en passant par le soutien apporté aux petits exploitants agricoles du Népal pour qu’ils puissent profiter des opportunités économiques et des investissements dans les technologies intelligentes face au climat (Harvey 2015, à paraître).
Un « gestionnaire des connaissances » (KM – Knowledge Manager) a été désigné, chargé d’entreprendre des activités de suivi, d’évaluation, de recherche, d’apprentissage et de communication. L’une de ses fonctions clés consiste à comprendre la façon dont BRACED améliore la résilience des communautés grâce à différents types d’interventions et dans différents contextes.
Le KM a pour mission de mesurer les résultats, mais aussi d’accorder les diverses manières de voir la résilience adoptées par les différents projets mis en œuvre dans des contextes géographiques extrêmement variés. Il existe désormais un ensemble de plus en plus conséquent de documents spécialisés qui reconnaissent que la résilience est hautement contextuelle.Permalink : http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31170 LES 3A : SUIVRE LA RÉSILIENCE DANS L’ENSEMBLE DE BRACED : LES 3A : L’ESPRIT Futur DE LA RÉSIlIENCE. Document de travail [texte imprimé] / BAHADUR, Aditya V., Auteur ; PETERS, Katie, Auteur ; WILKINSON, Emily, Auteur . - Le gestionnaire de connaissances BRACED prépare des données factuelles et des enseignements ayant trait à la résilience et à l’adaptation en partenariat avec les projets BRACED et la communauté de la résilience dans son ensemble. Il recueille des données . - [S.l.] : BRACED, Aout 2015 . - 63 p.
Document extrait de la plateforme AGORA d'Enda Tiers-Monde.
Langues : Français
Catégories : ADAPTATION AU CHANGEMENT CLIMATIQUE
BESOIN EN ENERGIE
CATASTROPHE
CATASTROPHE NATURELLES
CHANGEMENTS CLIMATIQUES
DEVELOPPEMENT DURABLE
GESTION DES RISQUES
PAUVRETE
REDUCTION DES RISQUES DE CATASTROPHES
RISQUES CLIMATIQUESMots-clés : RESILIENCE Index. décimale : 124 - DESASTRES, CATASTROPHES NATURELLES, CALAMITES Résumé : Le terme « résilience » désigne généralement l’aptitude des systèmes à fonctionner lors de perturbations (Holling, 1973). Des efforts considérables visant à opérationnaliser ce concept afin de réduire la vulnérabilité des communautés marginalisées ont été observés. Si les acteurs de développement de par le monde reconnaissent le potentiel d’une réflexion axée sur la résilience, l’opérationnalisation du concept présente néanmoins un certain nombre de problèmes. Il s’agit, entre autres, des aspects suivants : difficultés rencontrées au moment de traduire
des idées émanant de l’étude de systèmes naturels pour qu’elles puissent être appliquées dans le travail sur des systèmes dotés de composantes sociales ; la gestion des concessions dans le renforcement de la résilience – par exemple, le fait de renforcer la résilience d’une personne peut exacerber la vulnérabilité d’une autre personne ; et comment parvenir à mieux comprendre les seuils à franchir pour qu’un système puisse devenir résilient (Bahadur et Tanner, 2014a).
L’un des très importants défis à relever pour opérationnaliser le concept concerne la mesure de la résilience des systèmes à diverses perturbations. La résilience couvre un certain nombre de suppositions théoriques sophistiquées sur la pensée systémique, l’interaction inter-échelles et la dynamique hors équilibre qui sont difficiles à jauger et à évaluer. Les chercheurs et les praticiens doivent par ailleurs s’efforcer de trouver des méthodes permettant de mesurer la résilience avant que les catastrophes ne surviennent (Bahadur et al., 2013 ; Quinlan, 2014).
Mais, alors même que la communauté de pratique met tout en œuvre pour relever ces défis, les programmes de résilience prolifèrent de par le monde. Un programme important de résilience est le programme financé par le département britannique du développement international (Department for International Development – DFID) « Renforcer la résilience et l’adaptation aux phénomènes climatiques extrêmes et catastrophes climatiques » (Building Resilience and Adaptation to Climate Extremes and Disasters – BRACED)1 – l’un des plus grands programmes de résilience du monde au moment de la rédaction du présent document. Cette initiative a pour objectif d’aider les populations à devenir plus résilientes aux chocs et stress induits par les changements climatiques en Asie du Sud et du Sud-Est, en Afrique de l’Est et au Sahel. Des subventions ont été accordées à 15 consortiums pour qu’ils puissent mener des projets couvrant une large variété de questions : de l’obtention, la prestation de services et la promotion de la mobilité 8LES 3A : SUIVRE LA RÉSILIENCE DANS L’ENSEMBLE DE BRACED IntroductIon
transfrontalière du bétail dans l’ensemble du Sahel, à l’échange de compétences et de technologies pour améliorer l’utilisation des informations relatives au climat en Éthiopie, en passant par le soutien apporté aux petits exploitants agricoles du Népal pour qu’ils puissent profiter des opportunités économiques et des investissements dans les technologies intelligentes face au climat (Harvey 2015, à paraître).
Un « gestionnaire des connaissances » (KM – Knowledge Manager) a été désigné, chargé d’entreprendre des activités de suivi, d’évaluation, de recherche, d’apprentissage et de communication. L’une de ses fonctions clés consiste à comprendre la façon dont BRACED améliore la résilience des communautés grâce à différents types d’interventions et dans différents contextes.
Le KM a pour mission de mesurer les résultats, mais aussi d’accorder les diverses manières de voir la résilience adoptées par les différents projets mis en œuvre dans des contextes géographiques extrêmement variés. Il existe désormais un ensemble de plus en plus conséquent de documents spécialisés qui reconnaissent que la résilience est hautement contextuelle.Permalink : http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31170 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 30921 124/ BAH/30921 Papier Bibliothèque ENDA Accéder au fonds Exclu du prêt Documents numériques
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Les_3A_Suivre_la_résilience_dans_l_ensemble_de_BRACED.pdfAdobe Acrobat PDFCadre d'action de Sendai pour la réduction des risques de catastrophe 2015 - 2030 / UNISDR(Bureau des Nations Unies pour la Réduction des risques de catastrophes
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Titre : Cadre d'action de Sendai pour la réduction des risques de catastrophe 2015 - 2030 Type de document : texte imprimé Auteurs : UNISDR(Bureau des Nations Unies pour la Réduction des risques de catastrophes, Auteur Mention d'édition : 1ère édition, Genève Editeur : UNISDR Année de publication : 2015 Note générale : Document extrait de la plateforme AGORA d'ENDA. Langues : Français Catégories : CATASTROPHES D'ORIGINE HUMAINE
CATASTROPHES NATURELLES
GESTION DES CATASTROPHES
PREVENTION DES CATASTROPHES
REDUCTION DES RISQUES DE CATASTROPHESMots-clés : ALEAS NATURELS STRUCTURES MEDICALES Index. décimale : 124 - DESASTRES, CATASTROPHES NATURELLES, CALAMITES Résumé : Le Cadre d'action de Sendai pour la réduction des risques de catastrophe 2015-2030 a été adoptélors de la troisième Conférence mondiale de l'ONU tenue à Sendai au Japon le 18 mars 2015. Il est le résultat de consultations lancées en mars 2012 et de négociations intergouvernementales menées de juillet 2014 à mars 2015 sur demande de l'Assemblée générale de l'ONU et avec l'appui du Bureau des Nations unies pour la réduction des risques de catastrophe.
Le Cadre d'action de Sendai succède au Cadre d'action de Hyogo (CAH), qui couvrait la décennie 2005-2015 et était intitulé « Pour des nations et des collectivités résilientes face aux catastrophes ». Le CAH était conçu pour donner un élan au travail mondial d'application du Cadre international d'action pour la Décennie internationale pour la prévention des catastrophes naturelles de 1989, des « Stratégie et plan de Yokohama pour un monde plus sûr : directives pour la prévention des catastrophes naturelles, la préparation aux catastrophes et l'atténuation de leurs effets » de 1994, et de la Stratégie internationale de prévention des catastrophes de 1999.
Le Cadre d'action de Sendai s'appuie sur des éléments qui garantissent la continuité du travail mené par les États et autres intervenants pour l'application du CAH et introduit différentes innovations, conformément aux demandes formulées durant les consultations et négociations.
Pour de nombreux commentateurs, les principales évolutions consistent en un accent beaucoup plus soutenu sur la prévention, la gestion et la réduction des risques de catastrophe plutôt que sur la gestion des catastrophes une fois celles-ci survenues, ainsi que sur le renforcement de la résilience, et en la définition de sept objectifs mondiaux et d'une série de principes directeurs, notamment la responsabilité des États en matière de prévention et de réduction des risques de catastrophe et la nécessité d'approches qui impliquent l'ensemble de la société et l'ensemble des institutions d'un gouvernement. Le champ d'application de la réduction des risques de catastrophe a par ailleurs été considérablement élargi pour inclure à la fois les aléas naturels et ceux li és à l'activité humaine, ainsi que les risques et aléas environnementaux, technologiques et biologiques. La résilience des structures médicales y est largement mise en avant.
Le Cadre d'action de Sendai recommande également l'amélioration de la compréhension de tous les facteurs de risques de catastrophe (exposition, vulnérabilités, caractéristiques des aléas, etc.), le renforcement de la gouvernance des risques de catastrophe (notamment des plateformes nationales), la mise en place de mécanismes de redevabilité en matière de gestion des risques de catastrophe, la préparation à reconstruire mieux, la reconnaissance des intervenants et de leurs rôles, la mobilisation d'investissements raisonnés en fonction des risques afin d'éviter la création de nouveaux risques, la résilience des structures médicales, du patrimoine culturel et des sources d'emploi, le renforcement de la coopération internationale et des partenariats mondiaux, ainsi que des politiques et programmes de don raisonnés en fonction des risques, y compris pour les aides et prêts accordés par les institutions financières internationales. Les plateformes mondiale et régionales pour la réduction des risques de catastrophe y sont par ailleurs clairement reconnues comme mécanismes de cohérence entre les divers agendas, de suivi et d'évaluation périodique qui appuient le travail des organes de l'ONU en charge de la gouvernance.Permalink : http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31152 Cadre d'action de Sendai pour la réduction des risques de catastrophe 2015 - 2030 [texte imprimé] / UNISDR(Bureau des Nations Unies pour la Réduction des risques de catastrophes, Auteur . - 1ère édition, Genève . - [S.l.] : UNISDR, 2015.
Document extrait de la plateforme AGORA d'ENDA.
Langues : Français
Catégories : CATASTROPHES D'ORIGINE HUMAINE
CATASTROPHES NATURELLES
GESTION DES CATASTROPHES
PREVENTION DES CATASTROPHES
REDUCTION DES RISQUES DE CATASTROPHESMots-clés : ALEAS NATURELS STRUCTURES MEDICALES Index. décimale : 124 - DESASTRES, CATASTROPHES NATURELLES, CALAMITES Résumé : Le Cadre d'action de Sendai pour la réduction des risques de catastrophe 2015-2030 a été adoptélors de la troisième Conférence mondiale de l'ONU tenue à Sendai au Japon le 18 mars 2015. Il est le résultat de consultations lancées en mars 2012 et de négociations intergouvernementales menées de juillet 2014 à mars 2015 sur demande de l'Assemblée générale de l'ONU et avec l'appui du Bureau des Nations unies pour la réduction des risques de catastrophe.
Le Cadre d'action de Sendai succède au Cadre d'action de Hyogo (CAH), qui couvrait la décennie 2005-2015 et était intitulé « Pour des nations et des collectivités résilientes face aux catastrophes ». Le CAH était conçu pour donner un élan au travail mondial d'application du Cadre international d'action pour la Décennie internationale pour la prévention des catastrophes naturelles de 1989, des « Stratégie et plan de Yokohama pour un monde plus sûr : directives pour la prévention des catastrophes naturelles, la préparation aux catastrophes et l'atténuation de leurs effets » de 1994, et de la Stratégie internationale de prévention des catastrophes de 1999.
Le Cadre d'action de Sendai s'appuie sur des éléments qui garantissent la continuité du travail mené par les États et autres intervenants pour l'application du CAH et introduit différentes innovations, conformément aux demandes formulées durant les consultations et négociations.
Pour de nombreux commentateurs, les principales évolutions consistent en un accent beaucoup plus soutenu sur la prévention, la gestion et la réduction des risques de catastrophe plutôt que sur la gestion des catastrophes une fois celles-ci survenues, ainsi que sur le renforcement de la résilience, et en la définition de sept objectifs mondiaux et d'une série de principes directeurs, notamment la responsabilité des États en matière de prévention et de réduction des risques de catastrophe et la nécessité d'approches qui impliquent l'ensemble de la société et l'ensemble des institutions d'un gouvernement. Le champ d'application de la réduction des risques de catastrophe a par ailleurs été considérablement élargi pour inclure à la fois les aléas naturels et ceux li és à l'activité humaine, ainsi que les risques et aléas environnementaux, technologiques et biologiques. La résilience des structures médicales y est largement mise en avant.
Le Cadre d'action de Sendai recommande également l'amélioration de la compréhension de tous les facteurs de risques de catastrophe (exposition, vulnérabilités, caractéristiques des aléas, etc.), le renforcement de la gouvernance des risques de catastrophe (notamment des plateformes nationales), la mise en place de mécanismes de redevabilité en matière de gestion des risques de catastrophe, la préparation à reconstruire mieux, la reconnaissance des intervenants et de leurs rôles, la mobilisation d'investissements raisonnés en fonction des risques afin d'éviter la création de nouveaux risques, la résilience des structures médicales, du patrimoine culturel et des sources d'emploi, le renforcement de la coopération internationale et des partenariats mondiaux, ainsi que des politiques et programmes de don raisonnés en fonction des risques, y compris pour les aides et prêts accordés par les institutions financières internationales. Les plateformes mondiale et régionales pour la réduction des risques de catastrophe y sont par ailleurs clairement reconnues comme mécanismes de cohérence entre les divers agendas, de suivi et d'évaluation périodique qui appuient le travail des organes de l'ONU en charge de la gouvernance.Permalink : http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31152 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 30903 124/UNI/30903 Papier Bibliothèque ENDA Accéder au fonds Exclu du prêt Documents numériques
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Cadre_d_action_de_Sendai_pour_la_réduction_des_risques_pour_la_réduction_des_risques_2015_-_2030.pdfAdobe Acrobat PDFCadre d' action de Sendai pour la réduction des risques de catastrophes / UNISDR(Bureau des Nations Unies pour la Réduction des risques de catastrophes
Titre : Cadre d' action de Sendai pour la réduction des risques de catastrophes Type de document : texte imprimé Auteurs : UNISDR(Bureau des Nations Unies pour la Réduction des risques de catastrophes, Auteur Editeur : Institut de la Francophonie pour le Développement Durable (IFDD) Année de publication : 2e trimestre 2018 Importance : pp-8-11 Présentation : couv.ill.en coul. Format : GRAND Langues : Français Catégories : GESTION DES CATASTROPHES
PREVENTIONS DES CTASTROPHES
REDUCTION DES RISQUES DE CATASTROPHES
SECOURS D'URGENCEMots-clés : CATASTROPHES NATURELLES Index. décimale : 124 Désastres Résumé : S'étalant sur 15 ans, le cadre d'action de Sendai est un accord sur une base volontaire, sans engagement, qui reconnait que l' Etats joue un role primordial dans le cadre de la réduction des risques de catastrophes touten partageant cette responsabilité avec d'autres acteurs concernés dont les autorités locales, le secteur privéset autres parties prenantes.Le cadre poursuit l' objectif suivant: La réduction substantielle des risques de catastrophes et de pertes, en vies humaines, en termes de niveau de vie et de pertes en ressources économiiques, physiques, sociales, culturelles et environnementales que peuvent subirles personnes,entreprises, communautés et pays.
Permalink : http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31101 Cadre d' action de Sendai pour la réduction des risques de catastrophes [texte imprimé] / UNISDR(Bureau des Nations Unies pour la Réduction des risques de catastrophes, Auteur . - [S.l.] : Institut de la Francophonie pour le Développement Durable (IFDD), 2e trimestre 2018 . - pp-8-11 : couv.ill.en coul. ; GRAND.
Langues : Français
Catégories : GESTION DES CATASTROPHES
PREVENTIONS DES CTASTROPHES
REDUCTION DES RISQUES DE CATASTROPHES
SECOURS D'URGENCEMots-clés : CATASTROPHES NATURELLES Index. décimale : 124 Désastres Résumé : S'étalant sur 15 ans, le cadre d'action de Sendai est un accord sur une base volontaire, sans engagement, qui reconnait que l' Etats joue un role primordial dans le cadre de la réduction des risques de catastrophes touten partageant cette responsabilité avec d'autres acteurs concernés dont les autorités locales, le secteur privéset autres parties prenantes.Le cadre poursuit l' objectif suivant: La réduction substantielle des risques de catastrophes et de pertes, en vies humaines, en termes de niveau de vie et de pertes en ressources économiiques, physiques, sociales, culturelles et environnementales que peuvent subirles personnes,entreprises, communautés et pays.
Permalink : http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=31101 Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 30848 124/ UNI/30848 Périodique Bibliothèque ENDA Accéder au fonds Exclu du prêt