Titre de série : | SEDES (SOCIETE POUR LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET SOCIAL) | Titre : | Emigration et transferts des cap-verdiens émigrés : Rapport final | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | DESSALIEN, Christian, Auteur ; DIEHL, Jean Pierre, Auteur ; LESCOUD, Michel, Auteur | Editeur : | SEDES | Année de publication : | 1989 | Importance : | 338 p. | Note générale : | Don de l'IRD | Langues : | Français | Catégories : | AFRIQUE DE L'OUEST CAP VERT CULTURE DEMOGRAPHIE EMIGRATION EMIGRES FAMINE MAIN D'OEUVRE MIGRANTS MIGRATION DE TRAVAIL MIGRATION INTERNATIONALE REFUGIES SECHERESSE TRANFERTS
| Mots-clés : | DISPERSION GEOGRAPHIQUE | Index. décimale : | 131 MIGRATION | Résumé : | Jusqu'à présent, et selon la définition de la "nation cap-verdienne" définie par les autorités du pays, le nombre de cap-verdiens résidant nors de l'archipel était estimé à 420 000 personnes. Selon une définition plus restreinte, se reférant à la citoyenneté, la communajté cap-verdienne émigrée ne dépasse pas 250 000 à 300 000 personnes. L'historien cap-verdiens A. Carreia situe le débuts de l'émigration à la fin du XVIIe siècle, à partir des îles du sud-ouest de l'achipel (Fogo et Brava) précocement peuplées. Ce sont les navires baleiniers américains qi, venant pêcher dans les eaux de l'Atlantique central, incorporèrent rapidement dansl eurs équipages es Cap-verdiens, en raison de leurs qualités de marins courageux et travailleurs. Assez souvent ces derniers se fixèrent dans le nord-est des Etat-Unis, dans les ports de Nouvelle Angleterre (New Bedford, Providence) et pus tard, avec la révolution industrielle, dans les villes textiles et metallurgiques de l'intérieuir (Boston, Dorchester). Mais Fogo et surtout Brava demeurèrent les principales îles d'origine des émigrants. | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=25299 |
SEDES (SOCIETE POUR LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET SOCIAL). Emigration et transferts des cap-verdiens émigrés : Rapport final [texte imprimé] / DESSALIEN, Christian, Auteur ; DIEHL, Jean Pierre, Auteur ; LESCOUD, Michel, Auteur . - [S.l.] : SEDES, 1989 . - 338 p. Don de l'IRD Langues : Français Catégories : | AFRIQUE DE L'OUEST CAP VERT CULTURE DEMOGRAPHIE EMIGRATION EMIGRES FAMINE MAIN D'OEUVRE MIGRANTS MIGRATION DE TRAVAIL MIGRATION INTERNATIONALE REFUGIES SECHERESSE TRANFERTS
| Mots-clés : | DISPERSION GEOGRAPHIQUE | Index. décimale : | 131 MIGRATION | Résumé : | Jusqu'à présent, et selon la définition de la "nation cap-verdienne" définie par les autorités du pays, le nombre de cap-verdiens résidant nors de l'archipel était estimé à 420 000 personnes. Selon une définition plus restreinte, se reférant à la citoyenneté, la communajté cap-verdienne émigrée ne dépasse pas 250 000 à 300 000 personnes. L'historien cap-verdiens A. Carreia situe le débuts de l'émigration à la fin du XVIIe siècle, à partir des îles du sud-ouest de l'achipel (Fogo et Brava) précocement peuplées. Ce sont les navires baleiniers américains qi, venant pêcher dans les eaux de l'Atlantique central, incorporèrent rapidement dansl eurs équipages es Cap-verdiens, en raison de leurs qualités de marins courageux et travailleurs. Assez souvent ces derniers se fixèrent dans le nord-est des Etat-Unis, dans les ports de Nouvelle Angleterre (New Bedford, Providence) et pus tard, avec la révolution industrielle, dans les villes textiles et metallurgiques de l'intérieuir (Boston, Dorchester). Mais Fogo et surtout Brava demeurèrent les principales îles d'origine des émigrants. | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=25299 |
|