Titre : | Etude menée à partir de deux villages dominante éthique. : Halpoulaar (Galoya) et Soninké (Bokidiawé) | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Cheikh Oumar BA, Auteur | Editeur : | Dakar | Année de publication : | 1992 | Importance : | 36p. | Présentation : | Rapport | Format : | Grand | Langues : | Français | Catégories : | EMIGRATION IMMIGRATION MIGRATION INTERNATIONALE MIGRATION TRANSFRONTALIERE
| Mots-clés : | HALPOULAAR/ SONIKE | Index. décimale : | 131.1/BAC/ | Résumé : | Les mouvements migratoires que lon constate aujourd'hui et ce depuis l' indépendance, et ce depuit l'indépandace, portent en profondeur l'empreinte que leur a laissé l'époque coloniale ( sergio Ricca, 1990). Chez les toucouleurs les indépendances ont renforcé l' exode rural (4) vers les centres urbains où ils exerçaient le plus souvent le métier de boy et maintenu les flux saisonniers .Dans certains cas ils deviennent convoyeurs de "coggal" c'est à dire de troupeaux ou vendeurs de cola à Kaolack, Sine Saloum... pour la migration internationale et être en mesure de tenir "un bon début de commerce". Avec l'argent obtenu les quelques toucouleur de la zone de Bakel et une partie du département de Matam partaient en France. Pour la quasi-totalité des habitants du Côte-D'Ivoire, le Congo et l'Afrique Centrale pendant les périodes fastes d'extraction de diamat phénomène trés en vogue dans les années 1970-1980. En ce qui conserne le département de Podor : Côte d'U+Ivoire Gabon, Gambie, Mauritanie. Consernant le village de notre étude (Galoya) les plus importntes destinations sont la Gambie, Côte-d'Ivoire, Gabon, Cameroun...Mais avec le renforcemant de la dégradation continue de l'environnement et de stagnation économique dans la valée, ces flux se sont semble t-ils augmentés. La dépendance de ces populations vis-vis de leur milieu naturel les rendait trés vulnérables aux aléas climatiques. Ce les deux cycles culturaux ( culture sous pluie et culture de décrue) , l' élevage et la pêche qui assuraient leur subsistance. Ainsi les années sécheresses, notamment la situation à partir de 1973, ne leur a donée qu'une possibilité, celle de migrer. Etait-ce la seule solution envisageable de l'époque ? | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30632 |
Etude menée à partir de deux villages dominante éthique. : Halpoulaar (Galoya) et Soninké (Bokidiawé) [texte imprimé] / Cheikh Oumar BA, Auteur . - [S.l.] : Dakar, 1992 . - 36p. : Rapport ; Grand. Langues : Français Catégories : | EMIGRATION IMMIGRATION MIGRATION INTERNATIONALE MIGRATION TRANSFRONTALIERE
| Mots-clés : | HALPOULAAR/ SONIKE | Index. décimale : | 131.1/BAC/ | Résumé : | Les mouvements migratoires que lon constate aujourd'hui et ce depuis l' indépendance, et ce depuit l'indépandace, portent en profondeur l'empreinte que leur a laissé l'époque coloniale ( sergio Ricca, 1990). Chez les toucouleurs les indépendances ont renforcé l' exode rural (4) vers les centres urbains où ils exerçaient le plus souvent le métier de boy et maintenu les flux saisonniers .Dans certains cas ils deviennent convoyeurs de "coggal" c'est à dire de troupeaux ou vendeurs de cola à Kaolack, Sine Saloum... pour la migration internationale et être en mesure de tenir "un bon début de commerce". Avec l'argent obtenu les quelques toucouleur de la zone de Bakel et une partie du département de Matam partaient en France. Pour la quasi-totalité des habitants du Côte-D'Ivoire, le Congo et l'Afrique Centrale pendant les périodes fastes d'extraction de diamat phénomène trés en vogue dans les années 1970-1980. En ce qui conserne le département de Podor : Côte d'U+Ivoire Gabon, Gambie, Mauritanie. Consernant le village de notre étude (Galoya) les plus importntes destinations sont la Gambie, Côte-d'Ivoire, Gabon, Cameroun...Mais avec le renforcemant de la dégradation continue de l'environnement et de stagnation économique dans la valée, ces flux se sont semble t-ils augmentés. La dépendance de ces populations vis-vis de leur milieu naturel les rendait trés vulnérables aux aléas climatiques. Ce les deux cycles culturaux ( culture sous pluie et culture de décrue) , l' élevage et la pêche qui assuraient leur subsistance. Ainsi les années sécheresses, notamment la situation à partir de 1973, ne leur a donée qu'une possibilité, celle de migrer. Etait-ce la seule solution envisageable de l'époque ? | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=30632 |
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