Titre : | Acces à l'eau et usages militants du droit: : Etude de cas à Soweto | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Julie AUBRIOT,, Auteur | Editeur : | AGENCE FRANCAISE DEVELOPPEMENT | Année de publication : | FEVRIER 2012 | Collection : | LA COLLECTION FOCALES, ISSN 2105-5386 | Importance : | 151p. | Présentation : | Couv. ill. en coul. | Format : | GRAND | Note générale : | Doc. Moussa Tall | Langues : | Français | Catégories : | APARTHIED COUTS DE DISTRIBUTION DISTRIBUTION DE L'EAU GESTION DE L'EAU POLITIQUE SOCIALE POPULATION URBAINE
| Mots-clés : | ACCES A L'EAU / POLITIQUE DE L'EAU / | Index. décimale : | 340 Approvisionnements en eau | Résumé : | A la fin de l'aparthied, en 1994, un espoir de renouveau politique, économique et social émérge en Afrique du Sud. Parmi les préoccupations du nouveau gouvernement ANC : gommer les inégalités et généraliser l'accés aux services de base. La réalisation du droit de l'eau, tel que reconnu par la nouvelle constitution, devient ainsi l'une des priorités. La municipalité de Johannesburg, engagée dés la fin des années 1990 dans un processus de renouvellement de sa politique de l'eau , lance en 2003 le projet de nombreuses controverses et donne lieu en 2006, à un procés : "l'affaire Mazibuko". Sous l' impulsion d'organisations militantes et avec le soutien d'une organisation de défense des droits humains et d'un avocat constitutionnel renommé, cinq résidents de Soweto attaquent deux aspects du projet OGA : l'installation de compteurs à prépaiement, et la politique de l'eau gratuite, dont le volume est jugé insuffisant. Cette étude se propose de retracer l'histoire de cette "affaire" et d'étudier les répercusiions de l'usage militant du droit, par un groupe de citadinsdéfavorisés, sur la politique municipale de l'eau. Les chercheurs s'intéressant aux problématiques de l'usage militant du droit et les acteurs du secteur de l'eau, notamment ceux travaillant dans les pays du Sud, y trouveront une illustration utile pour appréhender les effets potentiels du droit de l'eau, et juger de l'effectivité de la justiciabilité du droit de l'eau comme, plus généralement, des droits sociaux. Depuis le début des années 2000, le droit de l'eau intrigue : sa nature, sa définition et sa portée concréte posent question. Récemment, ce dernier a été reconnu à l'échelle internationale à travers une résolution de l'Assemblée générale des Nations Unies (juillet 2010) et une autre, du Conseil des droits de l'Homme (septembre 2010), coupant court, aux débats sur son éxistence ou sa nature (cf. enacdré 1). Néanmoins, au-delà des problématiques purement légales qui l'entourent, des questions se multiplient sur son effectivité et celle des droits sociaux, notion qui connâit aujourd'hui un certain succés ( Herrera, 2009). En effet, à quoi peut bien servir la reconnaissance d'un droit social pour l'accés à l'eau quand, pour une majorité d'acteurs, les préoccupations se posent en termes de gouvernance et de régulation, ou constituent. | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=29341 |
Acces à l'eau et usages militants du droit: : Etude de cas à Soweto [texte imprimé] / Julie AUBRIOT,, Auteur . - PARIS : AGENCE FRANCAISE DEVELOPPEMENT, FEVRIER 2012 . - 151p. : Couv. ill. en coul. ; GRAND. - ( LA COLLECTION FOCALES, ISSN 2105-5386) . Doc. Moussa Tall Langues : Français Catégories : | APARTHIED COUTS DE DISTRIBUTION DISTRIBUTION DE L'EAU GESTION DE L'EAU POLITIQUE SOCIALE POPULATION URBAINE
| Mots-clés : | ACCES A L'EAU / POLITIQUE DE L'EAU / | Index. décimale : | 340 Approvisionnements en eau | Résumé : | A la fin de l'aparthied, en 1994, un espoir de renouveau politique, économique et social émérge en Afrique du Sud. Parmi les préoccupations du nouveau gouvernement ANC : gommer les inégalités et généraliser l'accés aux services de base. La réalisation du droit de l'eau, tel que reconnu par la nouvelle constitution, devient ainsi l'une des priorités. La municipalité de Johannesburg, engagée dés la fin des années 1990 dans un processus de renouvellement de sa politique de l'eau , lance en 2003 le projet de nombreuses controverses et donne lieu en 2006, à un procés : "l'affaire Mazibuko". Sous l' impulsion d'organisations militantes et avec le soutien d'une organisation de défense des droits humains et d'un avocat constitutionnel renommé, cinq résidents de Soweto attaquent deux aspects du projet OGA : l'installation de compteurs à prépaiement, et la politique de l'eau gratuite, dont le volume est jugé insuffisant. Cette étude se propose de retracer l'histoire de cette "affaire" et d'étudier les répercusiions de l'usage militant du droit, par un groupe de citadinsdéfavorisés, sur la politique municipale de l'eau. Les chercheurs s'intéressant aux problématiques de l'usage militant du droit et les acteurs du secteur de l'eau, notamment ceux travaillant dans les pays du Sud, y trouveront une illustration utile pour appréhender les effets potentiels du droit de l'eau, et juger de l'effectivité de la justiciabilité du droit de l'eau comme, plus généralement, des droits sociaux. Depuis le début des années 2000, le droit de l'eau intrigue : sa nature, sa définition et sa portée concréte posent question. Récemment, ce dernier a été reconnu à l'échelle internationale à travers une résolution de l'Assemblée générale des Nations Unies (juillet 2010) et une autre, du Conseil des droits de l'Homme (septembre 2010), coupant court, aux débats sur son éxistence ou sa nature (cf. enacdré 1). Néanmoins, au-delà des problématiques purement légales qui l'entourent, des questions se multiplient sur son effectivité et celle des droits sociaux, notion qui connâit aujourd'hui un certain succés ( Herrera, 2009). En effet, à quoi peut bien servir la reconnaissance d'un droit social pour l'accés à l'eau quand, pour une majorité d'acteurs, les préoccupations se posent en termes de gouvernance et de régulation, ou constituent. | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=29341 |
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