Titre de série : | VIVRE AUTREMENT | Titre : | L'école Hantise ou Espoir | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Diana SENGHOR ; Sié Offi SOME ; Babacar TOURE | Année de publication : | 1985/12 | Importance : | N°3/4 (66 P) | Langues : | Français | Mots-clés : | LATRINES BATIMENT SCOLAIRE TRANSPORT SCOLAIRE ECOLE PRIVEE COURS DU SOIR PRESCOLAIRE SYSTEME EDUCATIF ECOLE PARENTS ELEVE LIVRE EDUCATION DEVELOPPEMENT SOCIAL HABITAT SANTE PREVENTION SANITAIRE ENSEIGNEMENT PRIMAIRE AFRIQUE | Résumé : | L'école, les parents continuent d'y croire et d'y jouer comme au loto. Alors, ils se saignent les veines, les parents. D'abord, ils construisent la majorité des bâtiments scolaires. Et puis chaque année, chaque mois ils débouchent pour les livres, les fournitures, les transports. Sans compter les pots de vin parfois, sans parler des inscriptions dans les écoles privées. S'ils consentent à de tels sacrifices c'est qu'ils pensent que l'école sera pour leurs enfants un instrument de mieux être social, qui leur permettra de trouver un emploi stable et rémunérateur. Bref, la lourde dépense qu'un écolier constitue pour sa famille apparaît comme un placement rentable dans l'avenir, pour lui et les siens. Les pouvoirs publics font apparemment, le même calcul : les états accordent généralement à l'éducation l'une des parts les plus belles de leurs maigres ressources. Se nourris d'illusions, l'école est le visage même qui revêt la société de consommation dans nos pays. | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6749 |
VIVRE AUTREMENT. L'école Hantise ou Espoir [texte imprimé] / Diana SENGHOR ; Sié Offi SOME ; Babacar TOURE . - 1985/12 . - N°3/4 (66 P). Langues : Français Mots-clés : | LATRINES BATIMENT SCOLAIRE TRANSPORT SCOLAIRE ECOLE PRIVEE COURS DU SOIR PRESCOLAIRE SYSTEME EDUCATIF ECOLE PARENTS ELEVE LIVRE EDUCATION DEVELOPPEMENT SOCIAL HABITAT SANTE PREVENTION SANITAIRE ENSEIGNEMENT PRIMAIRE AFRIQUE | Résumé : | L'école, les parents continuent d'y croire et d'y jouer comme au loto. Alors, ils se saignent les veines, les parents. D'abord, ils construisent la majorité des bâtiments scolaires. Et puis chaque année, chaque mois ils débouchent pour les livres, les fournitures, les transports. Sans compter les pots de vin parfois, sans parler des inscriptions dans les écoles privées. S'ils consentent à de tels sacrifices c'est qu'ils pensent que l'école sera pour leurs enfants un instrument de mieux être social, qui leur permettra de trouver un emploi stable et rémunérateur. Bref, la lourde dépense qu'un écolier constitue pour sa famille apparaît comme un placement rentable dans l'avenir, pour lui et les siens. Les pouvoirs publics font apparemment, le même calcul : les états accordent généralement à l'éducation l'une des parts les plus belles de leurs maigres ressources. Se nourris d'illusions, l'école est le visage même qui revêt la société de consommation dans nos pays. | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=6749 |
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