Lire L'école de femmes, c'est replacer dans le contexte littéraire et théatral qui les a produits deux personnages de fiction qui sont devenus des types auxquels on se refère: Arnolphe un quadragènaire hanté par le cocuage, qui prétend s'en protéger en épousant une sotte et se ridiculise; Agnès sa pupille élevée dans l'innocence hors du monde, qui accueille avec ingénuité le premier blondin venu et apprend la ruse à l'école de l'amour. C'est aussi renconter Horace, jeune étourdi romanesque qui est cause de la transformation d'Agnès. C'est voir interférer dans l'action un donneur de leçons paradoxale, Chrysalde, des domestiques balourds, Alain et Georgette, un notaire grotesque, des pères qui jouent les utilités. Et c'est d'abord s'amuser d'une comédie d'intriguesur les thème de convention: la précaution inutile, les confidences étourdies, la façon dont l'esprit vient aux filles.

Lire L'école de femmes, c'est replacer dans le contexte littéraire et théatral qui les a produits deux personnages de fiction qui sont devenus des types auxquels on se refère: Arnolphe un quadragènaire hanté par le cocuage, qui prétend s'en protéger en épousant une sotte et se ridiculise; Agnès sa pupille élevée dans l'innocence hors du monde, qui accueille avec ingénuité le premier blondin venu et apprend la ruse à l'école de l'amour. C'est aussi renconter Horace, jeune étourdi romanesque qui est cause de la transformation d'Agnès. C'est voir interférer dans l'action un donneur de leçons paradoxale, Chrysalde, des domestiques balourds, Alain et Georgette, un notaire grotesque, des pères qui jouent les utilités. Et c'est d'abord s'amuser d'une comédie d'intriguesur les thème de convention: la précaution inutile, les confidences étourdies, la façon dont l'esprit vient aux filles.