Titre : | La lutte antivectorielle : Méthodes à usage individuel et communautaire | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | J. A. ROZENDAAL | Editeur : | OMS | Année de publication : | 1999 | Importance : | 449 p. | ISBN/ISSN/EAN : | 978-92-4-254494-7 | Note générale : | Don de IRD : Avril 2016 | Langues : | Français | Mots-clés : | MOUSTIQUES MOUSTIQUAIRES PUCES VAPORISATION MALADIE VIRALE INSECTICIDES MOUCHE ACARIEN MALADIE VIRALE ANIMALE LUTTE ANTIVECTORIELLE PALUDISME SANTE PUBLIQUE LUTTE CONTRE LES VECTEURS DE MALADIES CHINE ASIE ET PACIFIQUE | Résumé : | Au tournant du dix-neuvième siècle, on s'est rendu compte que certaines espèces d'insectes et autres arthropodes ainsi d'ailleurs que plusieurs gastéropodes d'eau douce étaient responsables de la transmission de maladies importantes. Comme on ne disposait pas toujours de vaccin ou de médicaments efficaces contre ces maladies, il n'y avait souvent guère d'autre solution que la destruction du vecteur pour les empêcher de se propager. Les premiers programmes de lutte anti-vectorielle consistaient à munir de grillages les ouvertures des habitations, à utiliser des moustiquaires, à assécher ou à combler les marécages et autres étendues d'eau servant de gîtes larvaires aux insectes et à les traiter au pétrole ou au vert de Schweinfurt. La découverte en 1940 des propriétés insecticides du DDT ou dichlorodiphényldichloréthane, a constitué une avancée majeure dans la lutte contre les maladies à transmission vectorielle. Ce produit était en effet extrêmement efficace contre les moustiques intradomiciliaires lorsqu'on le pulvérisait sur les murs des habitations. Par ailleurs, il n'était pas cher à produire et restait actif pendant plusieurs mois. Il était également efficace contre d'autres insectes piqueurs ainsi que contre les puces, les poux, les punaises de lit et les triatomes. | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=18492 |
La lutte antivectorielle : Méthodes à usage individuel et communautaire [texte imprimé] / J. A. ROZENDAAL . - [S.l.] : OMS, 1999 . - 449 p. ISBN : 978-92-4-254494-7 Don de IRD : Avril 2016 Langues : Français Mots-clés : | MOUSTIQUES MOUSTIQUAIRES PUCES VAPORISATION MALADIE VIRALE INSECTICIDES MOUCHE ACARIEN MALADIE VIRALE ANIMALE LUTTE ANTIVECTORIELLE PALUDISME SANTE PUBLIQUE LUTTE CONTRE LES VECTEURS DE MALADIES CHINE ASIE ET PACIFIQUE | Résumé : | Au tournant du dix-neuvième siècle, on s'est rendu compte que certaines espèces d'insectes et autres arthropodes ainsi d'ailleurs que plusieurs gastéropodes d'eau douce étaient responsables de la transmission de maladies importantes. Comme on ne disposait pas toujours de vaccin ou de médicaments efficaces contre ces maladies, il n'y avait souvent guère d'autre solution que la destruction du vecteur pour les empêcher de se propager. Les premiers programmes de lutte anti-vectorielle consistaient à munir de grillages les ouvertures des habitations, à utiliser des moustiquaires, à assécher ou à combler les marécages et autres étendues d'eau servant de gîtes larvaires aux insectes et à les traiter au pétrole ou au vert de Schweinfurt. La découverte en 1940 des propriétés insecticides du DDT ou dichlorodiphényldichloréthane, a constitué une avancée majeure dans la lutte contre les maladies à transmission vectorielle. Ce produit était en effet extrêmement efficace contre les moustiques intradomiciliaires lorsqu'on le pulvérisait sur les murs des habitations. Par ailleurs, il n'était pas cher à produire et restait actif pendant plusieurs mois. Il était également efficace contre d'autres insectes piqueurs ainsi que contre les puces, les poux, les punaises de lit et les triatomes. | Permalink : | http://enda-cremed.org/bpd/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=18492 |
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